
Juin ton soleil ardente lyre
Brûle mes doigts endoloris
Triste et mélodieux délire
J’erre à travers mon beau Paris
Sans avoir le cœur d’y mourir
Guillaume Apollinaire
La Chanson du Mal-Aimé
Alcools Poésie – Gallimard
page 31,
achevé d’imprimer le 19 avril 1973
Publié pour la première fois en 1909