La voix « calme et grave » du comédien ; un endroit dont le nom rappelle inévitablement les lieux communs sur Proust et les réminiscences ; cette bicyclette enfin qui roule au rythme des souvenirs et d’un paysage sobre, plus qu’abstrait, tout prépare le spectateur à savourer son propre passé à la lumière de celui que Pérec et FreyLire la suite « Ce soir à la Madeleine, « je me souviens » »